Damas – SANA / Une exposition d’art intitulée Vestiges de la mémoire du pasticien Ghazwan Assaf, a été ouverte dans la ville d’Idleb, spécifiquement à l’intérieur du « Kitab Cafe ».
Cette exposition est organisée par l’équipe Al-Hayat, et en coopération avec la Fondation « Canaux de reconstruction de la Syrie ».
L’exposition abrite un groupe de peintures et d’installations qui simulent la dévastation et l’absence, et documente des scènes de villes syriennes détruites et d’autres concrétisant les crimes du régime déchus pendant les dernières années.
Assaf a utilisé dans ses œuvres des matériaux simples et des couleurs pâles, comme s’ils rencontrent la douleur des villes après la guerre. Il a utilisé les cendres et les décombres comme des éléments symboliques qui expriment la douleur des Syriens et leur impact dans la mémoire collective.
Les visiteurs, en se déplaçant entre des tableaux simulant Alep, Daraya, Maarat al-Numan et autres, ont constaté que la mémoire est toujours vivante malgré la dévastation et que l’art pourrait être un cri visuel documentant les crimes du régime déchu contre les Syriens.
Ibtissam /R.Bittar